La portée critique du film
Lors de la première de
High School à Boston, en 1969, Louise Day Hicks, femme très conservatrice et membre du conseil d'éducation de Boston est venu me dire :
"quelle école merveilleuse, Monsieur Wiseman!". j'ai cru qu'elle me faisait marcher, jusqu'à ce que je comprenne qu’elle avait tout interprété selon ses valeurs personnelles, qui étaient le contraire des miennes. Les éléments parodiques lui avaient complètement échappé. Je ne crois pas que sa réaction prouve que le film est un échec, mais elle démontre, une fois de plus, que la réalité est ambigüe. Le "vrai" film se situe entre le spectateur et l'écran".