Wisemann et le cinéma "direct"
« J’ai une réaction contre certains des films de cinéma direct qui se centrent sur un ou deux personnages, une charmante vedette ou un charmant criminel… Pour moi, la vedette, c’est le lieu et le lien social, d’où ma série de films sur les lieux
institutionnels."
Il se rapproche plutôt de la fiction indépendante des années 1950. [...] C’est avec The Cool World (1963), deuxième long-métrage de Shirley Clarke, que Wiseman commence à travailler dans le cinéma en tant que producteur. Par la suite, il préfèrera parler de « films » ou de « fictions du réel » plutôt que de « documentaires », pour évoquer son travail.
Le Petit Fugitif (1953)
ICI de Morris Engel,
Shadows (1959), de John Cassavetes,
ICI